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les amis de Samy  dans le couloir de la résidence du Prémier ministre

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Contact : 00243840834612,  00243852248453

LETTRE OUVERTE DES AMIS DE SAMY BADIBANGA adressées :

–       Au Secrétaire Général des nations unies

–       Aux Membres Des Conseil De Sécurité Des Nations unies

–       Au PRÉSIDENT DE L’U.A

–       Au président du comité de sage de l’U.A

–       Au représentant de l’union Européenne  en RDC

–       Au secrétaire général de l’OIF

–       Au Président de l’Union Européenne

–       Au Président de la République Démocratique du Congo

–       Aux  Président des deux chambres du parlement de la RDC

–       Au Président de la cours constitutionnelle

–       Au Président de la CENCO

–       Au Président de la CENI

–       Au Secrétaire général de la Majorité présidentielle

–       Aux Présidents de rassemblement toutes tendance confondue

–       Aux Présidents des regroupements  socio politiques signataires de l’accord du 18 octobre  ayant pris part aux assises de la CENCO ;

Concernant la crise politique persistante en République Démocratique du Congo.

La République Démocratique du Congo traverse une zone de turbulence terrible et sans précédent.

Une turbulence dont le dénouement est loin du bout du tunnel.

Celle-ci risque de plonger le pays dans l’incertitude politique caractérisée non seulement par des tensions au niveau national mais aussi elle plombe l’économie du pays.

Qu’est ce qui est à ces bases de cette situation ?

Nul n’ignore aujourd’hui que la crise actuelle est née de l’absence d’organisation des élections dans le délai constitutionnelle  en 2016. La patrie de Patrice Emery Lumumba court le risque d’imploser si les acteurs politiques congolais ne résolvent pas des manières définitives leurs différends en dépassant leurs ego.

On se souviendra que plusieurs négociations ont eu lieu dans divers endroit entre autre IBIZA, et Italie.

Ce, afin d’éviter  que le pays connaisse une situation Apocalyptique comme d’aucuns  les prédisaient à le date du 19 Décembre 2016. Et toutes ces négociations ont débouché à l’organisation du Dialogue du 18 Octobre. Dialogue où  le rassemblement avait posé plusieurs conditions que la majorité a tenté de répondre à quelques-unes.

·        Exigence de la médiation internationale c’est qui a permis à la  désignation d’Edem KODJO par le conseil de sage de l’Union Africaine comme facilitateur.

·        comme  cela ne suffisait pas le rassemblement a encore exigé l’accompagnement de Mr KODJO par le panel pour se rassurer de la crédibilité des résolutions qui en découleraient chose qui fut également faite,

·        La Décrispation politique sur la libération des prisonniers politiques et la réouverture des certains médias  fermés jusqu’aujourd’hui peinent à se concrétiser pour les raisons seule la majorité pourra expliquer.

Au regard de ces faits la grande majorité de ces conditions posées par le rassemblement ont trouvé gains de cause.

Curieusement le rassemblement ferra volt face à la dernière minute jusqu’à qualifier le Médiateur  du partisan de la majorité, alors que ce dernier a été désigné par la communauté international et appuyer par la résolution 2298 de conseil de sécurité des nations unies.

On se souviendra que le gouvernement a même proposé la médiation de la CENCO pour éviter toute ingérence étrangère mais le rassemblement avait refusé catégoriquement cette médiation.

Pour ne pas plonger le pays dans le chaos le dialogue fut convoqué et organisé sans le rassemblement.

Plusieurs résolutions ont été prises entre autres la désignation du premier ministre issu de l’opposition, l’organisation des élections le 18 avril 2018, la non représentation du président actuel pour un troisième mandat et la non organisation du referendum.

Afin de préserver la concorde nationale, il a été laissé une ouverture dans l’article 24 de cet accord. Laquelle stipulant la recherche d’un large consensus afin de ramener ceux qui n’ont pas pris part à ces assises de signer après.

C’est ici que le Président de la république va confier une mission verbale à la CENCO de convaincre les membres de rassemblement à venir signer cet accord.

Mission où l’Abbé NSHOLE alors secrétaire a.i  de la CENCO confirmera lors de son  discours d’ouverture des travaux du centre inter diocésain « ici nous ne sommes pas venu pour  signer un autre accord mais rechercher un large consensus ».

Mais curieusement à la grande surprise de tous cette mission s’est transformé à la signature d’un autre accord « dit de saint sylvestre »pour accorder le poste du Premier ministre au rassemblement qui du même était incapable de trouver le consensus interne pour designer cet animateur.

Et comme conséquence :

·       la Dislocation du rassemblement pour la dispute de ce poste, ce qui a rendu même jusqu’aujourd’hui l’application de cet accord et de leur arrangement particulier inacceptable par la classe politique.

·        Démission du Premier Ministre issu de l’accord du 18 octobre alors qu’il était déjà avancé dans le processus d’organiser les élections dans le délai lui imparti.

·        impossibilité d’organiser les élections dans le délai de l’accord de saint sylvestre, et occasionnant La recrudescence de l’insécurité  et violence au Kasaï Central, au Kongo Central, et à Kinshasa, y compris l’instabilité récurrente dans les provinces du Nord et Sud-Kivu ainsi que le conflit communautaire dans le Tanganyika entravent le bon déroulement des opérations pré-électorales dans ces entités à causant notamment des pertes en vies humaines, des déplacés et des réfugiés ainsi que des dégâts matériels importants, traduisant ainsi la fragilité des forces de sécurité et le déficit de l’autorité de l’Etat.

C’est ainsi que nous les amis de Samy BADIBANGA, vu la situation telle qu’elle se présente Condamnons :

·        La majorité présidentielle pour leur ambigüité dans la prise des positions créant ainsi des blocages délibérés dans le processus électoral.

·        Le rassemblement toute tendance confondue  pour  L’insouciance sur la question du processus électoral, pourtant à la base de la crise au profit des positionnements et des avantages indus au détriment des intérêts vitaux de la population.

·        la CENI pour son opacité dans la conduite du processus électoral et la non actualisation du cadre légal de la sécurisation du processus électoral tel que prévu par l’accord du 31 décembre 2016.

·        Le regroupement socio-politique signataire de l’accord du 18 octobre pour leur versatilité caractérisée par le souci de rester au perchoir au détriment du peuple ;

Pour autant il faut noter que cet accord du saint sylvestre a démontré ces limites et son caractère démagogique  de ne pas organiser les élections  à la date du 31 décembre, en perturbant l’accord du 18 octobre qui a prévu les élections en avril 2018.

Au regard de ce qui précède nous les amis de Samy BADIBANGA suggérons au conseil de sécurité des nations unies et au comité des  sages de l’union africaines ce qui suit :

·        De revernir à l’accord du 18 octobre, d’autant plus que ceci avait un caractère juridique tant sur le plan national qu’international de par sa convocation par l’ordonnance présidentielle appuyer par la résolution 2298 de conseil de sécurité des nations unies.

·        De soutenir cet accord du fait que le délai fixé pour organiser les élections est raisonnable et ne pourra pas plonger le pays dans un cycle apocalyptique étant donné que les opérations d’enrôlement sont presqu’à  terme.

En agissant ainsi nous doterons à la République un processus électoral apaisé et hors de toute insécurité émaillée des plusieurs foyers de tensions.

Que Dieu bénisse la république Démocratique du Congo

Fait à Kinshasa, le 05 septembre 2018

Les amis de Samy BADIBANGA

Katebe Katoto suspendu de L’Alternance pour la republique

17 février 2017

Raphael Katebe est suspendu de toute activité au sein de la plateforme Alternance pour la république (AR). L’information a été donnée à ACTUALITE.CD par Delly Sesanga, président de ce regroupement politique qui soutient la candidature de Moise Katumbi à la prochaine présidentielle.

« Toutes les plateformes au sein du Rassemblement se sont mis d’accord pour la désignation de Félix Tshisekedi comme prochain Premier ministre. Et nous avons confirmé aux évêques ce choix du Président Tshisekedi. Il ne revient pas à un  membre de la plateforme de remettre en cause cette décision, » a affirmé le député.

Dans une interview accordée à ACTUALITE.CD ce matin, Katebe Katoto avait une fois de plus exprimé ses ambitions d’occuper le poste de Premier ministre qui revient au Rassemblement eu égard à l’Accord politique du 31 décembre.

 

cacophonie au sein du (rassemblement) Le frère de Katumbi candidat à la Primature!

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Dans une interview accordée à la Radio TOP CONGO, le frère de Moïse Katumbi dément l’information selon laquelle Etienne Tshisekedi aurait donné le nom de son fils, Félix Tshisekedi, comme candidat à Primature.

« Quand j’ai parlé avec le Président Tshisekedi et je lui ai dit que je voulais aussi me porter candidat pour apporter ma contribution au pays il m’a dit ceci, c’est une bonne chose nous allons récolter les avis des uns, des autres et après nous allons tranché, mais ça m’aide beaucoup que vous vous portez candidat parce que il y a une candidature ici ou on me fait pression que je ne suis pas pour », a dit à TOP CONGO FM, Raphael Katebe Katoto (Katebe).

Pour autant, des membres de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) affirment que le leader du Rassemblement décédé le 1er février à Bruxelles aurait confié le nom de son fils comme candidat à ce poste, conformément à l’accord signé le 31 décembre dernier.

Un malaise Katebe Katoto au Rassemblement?

Membre du conseil des sages du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement, Raphaël Katebe Katoto traverse une situation quelque peu étrange au sein de cette coalition des opposants.  Bien avant même le décès du leader cette plateforme, Etienne Tshisekedi, le demi-frère de Moïse Katumbi s’est fait remarquer avec une sortie peu habituelle sur les antennes de la radio Top Congo émettant à Kinshasa.

Dans cette interview du 27 janvier, celui qui se présente alors comme le vice-président du Rassemblement affirme, contre la position officielle de la coalition, qu’il préfère qu’une liste de candidats Premier ministre soit donnée au président Joseph Kabila.

En effet, le Rassemblement s’oppose à la Majorité Présidentielle concernant la désignation du Premier ministre dans le cadre de l’arrangement particulier pour l’application de l’accord signé le 31 décembre dernier. Les opposants congolais aimeraient présenter un seul candidat, alors que le pouvoir leur en exige une liste d’au moins cinq.

Il n’aura pas fallu longtemps pour que le Rassemblement dénonce cette sortie de M. Katebe.  Au cours d’une conférence de presse tenue au siège du G7 le dimanche 29, le président de cette plateforme, Pierre Lumbi, également cadre du Rassemblement, a mis en garde Katebe Katoto pour ses « ambitions personnelles ». L’ancien conseiller spécial du président Kabila a dénoncé  ce qu’il qualifie « d’usurpation de fonction », affirmant que M. Katebe n’était aucunement vice-président du Rassemblement, un poste qu’occupait feu Charles Mwando Nsimba. « Après Étienne Tshisekedi, Charles  Mwando en sa qualité de président du G7, était la 2è personnalité du Rassemblement » a expliqué le président du MSR. Fin de discussions.

A la mort de Tshisekedi, la petite querelle n’allait finalement pas prendre fin. Dans un message publié sur son compte Facebook, Raphael Katebe Katoto décide de sécher les hommages rendus à Etienne Tshisekedi à Bruxelles où la quasi-totalité de l’opposition était pourtant présente.

« Si les allégations viennent des proches de la famille par correction et par justice qu’ils fassent une demande d’autopsie ainsi tout le monde sera fixé de la cause de la mort du président Etienne Tshisekedi et cela mettre fin aux très graves accusations. Mr Katebe constate que de personnes sans moralités utilisent, profitent  sans humanité de la mort du président Tshisekedi à leur fin politique. Vu le climat malsain Mr Katebe à son grand regret ne pourra être présent  auprès de son ami pour lui rendre un dernier hommage », dit-il dans son message. 

Des sources proches de l’opposition, Katebe Katoto serait accusé « d’avoir tué » Etienne Tshisekedi, en complicité avec le pouvoir. L’accès à la clinique Sainte Elisabeth à Bruxelles où était hospitalisé le leader de l’UDPS lui aurait même été refusé. Par ailleurs, Raphael Katebe se porte candidat à la Primature.